UN MIRACLE POUR NOËL - Justine.A Kiss - Histoire de Noël. 24.12.2019

Publié le 24 Décembre 2019

Ecrit par Justine.A Kiss Kiss

Histoires de Noël

Pour le 24 Décembre 2019

Il était une fois...

 

Justine.A vous souhaite à tous, un JOYEUX NOËL!

 

 

UN MIRACLE POUR NOËL

Écrit par Justine.A Kiss Kiss

 

Bonnes Fêtes de Noël à tous!

         

       Il était une fois...

Une petite famille qui vivait dans le sud de la France. Au cœur d'une petite ville, située entre campagne et montagne.

C'était la veille de Noël, Marie Bourquard était à la cuisine, elle préparait le repas de Noël, elle mettait à cuire une magnifique canette dans son grand four à bonne cuisson. Elle était entourée de toute la famille au complet.

Pendant que la canette cuisait durant un bon moment, elle discutait et rigolait avec tout le monde dans le grand salon, ce qui faisait qu'elle ne surveillait plus la canette. Elle l'oublia complètement, elle se mit à brûler.

L'enfant Nicolas Bourquard sentait la fumée venant du four, dans la cuisine, il se mit à prévenir sa famille. Sa famille ne lui prêtait aucune attention. 

Nicolas avait si peur qu'il y ait un incendie dans toute la maison, qu'il se sauva, il se réfugia en courant dans sa chambre.

Cinq minutes après, la canette brûla à grand feu et par un concours de circonstances, toute la cuisine se mit à brûler.

Quelques minutes plus tard, la famille Bourquard s'aperçut avec stupeur et frayeur qu'il y avait le feu dans la maison.

Tout à coup, la famille se réunit à l’extérieur de la maison en vitesse.

Ils sortirent tous dans la rue et s'arrêtèrent en face de la maison qui commençait à brûler par la cuisine. Marie et son mari Jean appelèrent aussitôt les pompiers.

Quelques minutes après, ils s'apercevaient que leur fils Nicolas était resté dans la maison qui était entrain de brûler par les flammes.

Les pompiers arrivèrent assez rapidement. Heureusement pour les parents car ils étaient terrifiés à l'idée de perdre leur petit Nicolas. Les pompiers étant prévenus de la présence du petit garçon, se mirent à intervenir très vite.

Après avoir éteint le feu, les pompiers se mirent à chercher dans tous les recoins possibles et inimaginables le petit Nicolas. Ne souhaitant pas être retrouvé et encore moins par sa famille, il décida de rester bien caché.

Il ne voulait pas être retrouvé aussi facilement par ses parents car il était toujours furieux, fâché de ne pas avoir été écouté et prit au sérieux, quand il les avait averti et prévenu du danger. La famille dût attendre dehors dans le froid de l'hiver, avec un vent à se glacer les os. 

La famille pensait à présent: 

« - Ce si beau Noël, gâché par un stupide oubli de cuisson, dans la cuisine... Quelle honte ! ... Un Noël raté par une stupide canette brûlée !».

Quelques heures plus tard, Nicolas attendait dehors dans le froid, hors de la maison, toujours caché et toujours en colère contre sa famille, il était bien derrière la maison, seul, le jour de Noël.

Une autre famille dans la rue passait par là, à ce moment-là, elle rigolait près de la maison et devant le pauvre enfant qui avait l'air de s'être perdu.

Le père de famille rigolait en montrant de la main la maison:
«  - Hier, je suis passée ici et cette maison n'était pas en ruine ! » Dit-il en ciblant la maison des Bourquard.

En croisant la famille Bourquard dans la rue, ils s'arrêtèrent pour demander des explications, sur ce qui avait bien pu arriver.

« - C'est notre maison, elle a brûlé ! Et mon Nicolas était à l’intérieur ! » Dit tristement et horrifiée Marie Bourquard.
« - Oh ! Je suis désolée Madame Bourquard ! » Dit la mère de la famille, en réfléchissant à ce que son mari avait osé dire.
« - Voulez-vous venir chez nous, en attendant que les pompiers le retrouvent?
Nous pouvons si vous le voulez vous héberger, pour Noël !? Dit-elle après avoir réfléchi à une solution afin de les aider.
« - Oh ! Ce serait vraiment généreux de votre part ! Dit la famille Bourquard reconnaissante de leur aide.
« - Oui, nous acceptons avec plaisir! Si cela ne vous dérange pas, bien sûr, de nous héberger Il fait si froid dehors! Dirent Jean et Marie Bourquard.
« - Merci! Vraiment de votre générosité ! Dirent la famille Bourquard, en serrant fortement l'autre famille contre eux, pour les remercier de leur aide.
« - Oh, mais c'est un plaisir, vraiment, nous sommes seuls pour Noël, donc nous avons assez de place, pour vous. 
Au fait, nous nous appelons : Edwige et Christian Albo, et vous? » demanda l'autre famille.
« - Nous, voici mon mari Jean et Moi, c'est Marie ! Répondit Marie.

Après que les « Bourquard » et les « Albo » se soient présentées les unes les autres, les deux familles allèrent en direction du village d'à côté.

Le petit Nicolas, marchant tout seul, les suivit de loin en les espionnant mais en restant toujours caché. Toujours fâché contre sa famille, il ne désirait pas les perdre pour autant.
Durant leur trajet, les deux mères parlaient de sujets de cuisine, de cadeaux de Noël, et bien d'autres sujets. Pendant que les hommes de familles parlaient de leur travail et de leurs vies de couple.

Après près ½ heure, 45 minutes de marche à pied, ils arrivèrent devant la belle et grande maison des « Albo ».
La famille Bourquard s’extasie et admira la beauté de cette grande et belle maison bien décorée pour les fêtes de Noël.

« - Ouah ! Que c'est magnifique ici ! » dit Marie en admirant la maison.

« - Oui, on ne pouvait pas rêver mieux, pour passer les fêtes de Noël ! » S'exclama Jean, en observant les décorations autour d'eux.

La famille "Albo" leur offrit l’hospitalité et les incitait à faire comme chez eux.
Ils montèrent à l'étage au-dessus, dans leur chambre.
Les « Bourquard » étaient très contents de leur visite et de pouvoir s’installer en dans une maison aussi chaleureuse, en attendant de trouver une solution pour leur maison partit en fumée.

La famille savait que les réparations seraient bien longues et chères pour le père de la famille. Mais même avec ce qui c'était passé, la famille restait très contente d'avoir eu autant de chance ! Autant de gentillesse à leur égard. Ils voulaient toute de même retrouver leur petit garçon. Ils appelèrent les pompiers, la police, toutes les heures environ, afin d'avoir des nouvelles de leur recherche.

Le petit garçon Nicolas Bourquard était toujours dehors, sans que les parents ne le sachent. Il découvrait le village tout seul, dans ce froid glacial, il les avait bien suivi jusqu'à cette maison pour ne pas les perdre...

En voyant la maison aussi belle et le désespoir de ses parents en cachette, il réfléchissait à ce qu'il avait fait. En voyant leur terrible inquiétude de le savoir peut-être dans la maison brûlée ou perdu tout seul dans la nature. Ils désiraient plus que tout au monde le retrouver. Leur peine et leur tristesse avaient réussi à émouvoir et à convaincre Nicolas de revenir. Car il faisait toujours aussi froid dehors et qu'à l’intérieur de la maison, on pouvait voir et sentir qu'il faisait beaucoup plus chaud. 

Nicolas ne s'amusait plus du tout loin de sa famille. Cela le rendait plutôt triste d'ailleurs. Il n'avait plus qu'une seule envie, c'était de pouvoir revenir dans sa famille et de serrer très fort ses parents contre lui, de pouvoir être réconforté.

Ce qu'il lui faisait peur maintenant, c'était leur réaction, quand ils le verront et quand ils sauront qu'il s'était enfui de la maison, pour leur faire croire qu'il avait brûlé dans la maison, c'était quand même très grave. Il attendit que le jour soit tombé pour avoir le courage de se montrer enfin à sa famille.

A la nuit tombée, il s'avança sur le seuil de la maison, il prit son courage entre les mains puis il sonna à la porte. Le petit garçon attendait que sa famille lui ouvre la porte et qui lui tendent les bras pour les heureuses retrouvailles, afin de pouvoir les serrer fort dans leur bras.

La porte s'ouvrit et c'est avec un excès de joie si soudain, un soulagement intense que la mère se précipita et serra fortement dans ses bras, son fils sauvé qui les avait enfin retrouver. Pour le père, ce fût également un soulagement et un réconfort de l'avoir retrouvé sain et sauf. La famille prévint alors les pompiers pour qu'ils puissent arrêter les recherches.

Nicolas se mit à tout raconter à sa propre famille et à la nouvelle toute l'histoire. Il ressentait le besoin de s'excuser car il avait vraiment honte. Cette histoire était si dramatique pour les parents, qu'ils décidèrent de lui pardonner et de pouvoir fêter enfin Noël. Et c'est ainsi que la véritable fête de Noël commença pour la famille Bourquard ! 

La famille Albo avait préparé un repas digne des plus grandes fêtes de Noël, avec une vraie dinde succulente, du fois gras, du saumon fumé, des cakes maison préparés avec amour par Edwige Albo, les cadeaux achetés par Christian Albo firent le bonheur de toute la famille Bourquard.

Marie et Jean Bourquard fit un beau discours à la famille qui les accueillait, qui leur avait ouvert leur porte, en cette période de drame et d'accident. Marie se sentait si fautive car à l'origine c'était d'elle que venait le drame, mais comme le jour de Noël était présent dans leur cœur, la famille s'en sortait bien.

Cette fête apportait à chacun de cette famille, la joie, le bonheur, l'amour et le pardon de sa famille mais aussi l'espoir, l’amitié, l'entre-aide, la chaleur humaine et celle d'un foyer.

C'est ainsi, qu'en ce jour de Noël, se finit cette belle histoire avec espoir et joie, pour les deux familles car elles étaient en harmonie ce soir là, pour fêter ensemble Noël. Cette fête réunit tous ceux qui s'aiment, tous ceux qui nous sont proches: La famille, les amis... 

Cette fête peut enrichir les cœurs et donner du réconfort, de la chaleur humaine dont on a chacun de nous besoin en vérité.

C'est aussi important de donner et d'offrir comme la famille Albo, que de recevoir et d'accepter les cadeaux des autres, accepter que l'on nous tend la main, comme la famille Bourquard. 

Ce moment de fête nous permet d'échanger, d'être bienveillant avec les autres, de se montrer généreux envers les autres.

Cette fête nous permet d'être reconnaissant envers ceux qu'on aime, mais pas seulement, avec aussi ceux qui ont besoin de soutien ou d'aide comme la famille Bourquard.

Comme eux, soyez aussi généreux et ouverts aux autres.

 

FIN

Mon Beau Sapin

 

TRÈS BON NOEL A TOUS ET A TOUTES !!

KISS KISS

JUSTINE.A

 

MERCI A VOUS DE ME SUIVRE !

KISS KISS J.A

 

Rédigé par Justine A

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